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Le Château Perché, un conte de fées en festival

Expérience fantastique et psychédélique à la fois au programme de la 5ème édition du festival Château Perché qui se déroulera du 9 au 12 août au château d'Avrilly en Auvergne. 

Une idée émerge il y'a quelques années au sein d'un groupe de potes, celle de faire vivre une expérience unique dans un lieu atypique tout en mélangeant les arts, du contemporain au traditionnel. Chaque année le choix est donc fait, à l'occasion d'une nouvelle édition, une nouvelle bastide devient le lieu du Château Perché. Une rencontre unique entre théâtre, musique et sculpture, le tout en valorisant le patrimoine français. Le projet est simple : bouleverser l'expérience classique d'un festivalier. Et quoi de mieux pour se faire que la nouveauté de cette année, une quatrième soirée nommée la Transverbare. Pendant 8h, 400 acteurs et spectateurs seront guidés par la musique de Vito Lucente au milieu d'un univers de danse et d'extase. Un bon délire psyché. 

Au Château Perché, pas de têtes d'affiches, ni de rockstar. Il y'a même de fortes chances que le line-up vous soit inconnu, et c'est un peu le concept : attiser la curiosité vers le talent plutôt que l'envergure de la personnalité. Au total, près de 200 artistes seront de la partie, répartis sur 11 scènes autour du château et dans le camping. Difficile de faire son choix tant le panorama de sonorités et d'horizons est large. La programmation mise donc sur l'expérimentation musicale à travers de la techno, de la house, de la drum & bass ou encore du jazz et du rock. Bref, il y'en aura pour tous les tympans. Chaque scène possèdera son propre univers, le tout agrémenté par les oeuvres par des sculptures et des fresques en tout genre. 

Le festival Au Château Perché se déroulera du 9 au 12 août au château d'Avrilly en Auvergne. Afin de s'offrir cette expérience entre contemporain et ancien, il faudra compter entre 40 et 90 euros selon le chapitre que vous choisissez. Oui, vous avez bien lu, vous vous apprêtez vraiment à vivre un conte de fées. 

Crédit photo : Vincent Rochette