Pour cette troisième et dernière annonce de programmation, le festival a choisi des artistes populaires comme plus underground.
Le 15 mars, Au Foin de la Rue ajoutait quatre duos français à son line-up : Pumpkin & Vin'S da Cuero, ATOEM, Ko Shin Moon et Péroké. Ce mardi, ce sont dix nouveaux noms qui viennent les rejoindre. Sur la grande scène, on attendra donc le collectif indépendant et éclectique Odezenne, qui a sorti son dernier album Au Baccara le 12 octobre dernier, le duo de Vitalic (aka Dima) et Rebeka Warrior Kompromat, qui donne dans une ambiance sombre et torturée mais aussi Worakls, l'artiste électronique en tournée pour son album Orchestra sorti le 8 mars.
Pour ce qui est des trois autres scènes, on accueillera les colombiens de Systema Solar, qui mêlent influences afro-caribéennes, cumbia et hip-hop, le groupe de hip-hop instrumental aux sonorités jazz Supachill mais aussi BCUC, le groupe de punk sud-africain originaire du quartier de Soweto. Toujours dans une veine punk, le groupe nantais Parpaing Papier donnera un concert débordant d'énergie. Le festival a également choisi les locaux de Grand Hôtel qui se produiront pour la première fois au festival, ainsi que le duo Tekemat, qui associe sons acoustiques à la répétitivité de la techno. Et pour finir sur une ambiance plus posée, le groupe de bluegrass Whistling Tumbleweed viendra faire tinter les cordes de leur banjo, mandoline, contrebasse et guitares. On avait essayé Au Foin de la Rue à nos débuts, en 2013. Il serait peut être temps d'y remettre les pieds !
Le festival se tiendra en Mayenne (53) les 5 et 6 juillet 2019. Le pass deux jours est disponible pour la somme de 50 €.
Artistes confirmés
Vendredi 5 juillet
Calypso Rose, Tribal Seeds, Super Parquet, Sourdurent, San Salvador, Orkesta Mendoza, Carpenter Brut, Odezenne, Worakls, Systema Solar, Grand Hôtel, Whistling Tumbleweed
Samedi 6 juillet
Dionysos, Svinkels, Kimberose, L'Entourloop, Kompromat, BCUC, Supachill, Péroké, Pumpkin & Vin'S da Cuero, ATOEM, Ko Shin Moon, Tekemat, Parpaing Papier
Crédit photo : Maxime Hillairaud
