Vladimir Cauchemar, -M-, Lomepal : le Printemps de Bourges dévoile ses têtes d'affiche

L'événement, qui ouvre tous les ans la saison des festivals et donne la note de ce qui sera à ne pas manquer sur les scènes de l'été, commence tout doucement à se dévoiler avec les têtes d'affiche de chacune de ses journées.

C'est le festival qui promet l'arrivée des beaux jours et des scènes open air. Le Printemps de Bourges revient en 2023 pour nous proposer, comme à son habitude, des révélations, des artistes qu'il faudra absolument suivre mais également des têtes d'affiche béton, à l'image de ceux qu'il dévoilait ce matin pour sa 47e édition.

Entrée en matière explosive du côté de Bourges dès le mardi 18 avril avec le magistral -M- et son dernier album « Rêvalité », sorti en juin 2022, le chanteur haut en couleur et en positivité Julien Granel et l’électro pop d’Anna Majidson. On poursuivra sur une note plus street le mercredi avec celui qui devrait squatter un grand nombre d'affiches de festivals de l'été prochain, Lomepal, mais aussi la chanteuse, compositrice et rappeuse martiniquaise Meryl et la nouvelle star de la pop trash Kalika.

Le jeudi promet d'être plein d'émotions et de bonus, avec les lives de Benjamin Biolay, qui sort déjà une édition augmentée de son dernier album “Saint Clair” et Juliette Armanet qui a récemment enrichi son deuxième album “Brûler le feu” de 5 titres inédits, mais aussi Izïa, de retour avec son cinquième album "La Vitesse" et le chanteur Hervé. Le vendredi ça va foutre le feu sur la piste de danse avec Bob Sinclar, Biga*Ranx, Disiz et la fanfare électro Meute, entre autres, et tout risque de partir en cacahuètes dans la fosse le samedi avec une soirée axée sur la hip-hop aux côtés de Vladimir Cauchemar, Gazo, Lorenzo et Hamza.

Et ce n'est que le début puisque l'affiche complète devrait être dévoilée le 31 janvier 2023.

Le Printemps de Bourges se tiendra du 18 au 23 avril 2023, à Bourges, en Centre-Val de Loire. Les pass seront mis en vente dès le jeudi 1e décembre. Noël approche, on dit ça, on dit R.

Crédit photo : Jean-Adrien Morandeau